J'ai été des deux côtés de la ligne ayant reçu un diagnostic de cancer en 2007 et ensuite un an plus tard ma maman a été également diagnostiquée un cancer.
Pour vous donner un aperçu de mon état d'esprit lorsque j'ai été diagnostiqué, j'avais vraiment peur. J'avais peur pour moi et ma fille Laila et pour mon enfant à naître. Pourrait vivre de les voir grandir ? Je serait capable de poursuivre ma grossesse et tenir mon deuxième enfant dans mes bras ? Et j'étais en colère. J'étais en colère que j'ai eu cette maladie. Pourquoi elle me choisi ? Comment pourrais je laisser cela se produire ? Puis vint la culpabilité. Comme le traitement a commencé, et je suis devenu moins capable de faire toutes les choses que j'ai l'habitude de faire, la culpabilité figurant. Comment pourrais mettre ma famille par ce biais ? Je pouvais voir la douleur dans leurs yeux. Comment pourrais empoisonner mon enfant à naître avec les médicaments de chimiothérapie ? Comment pourrais fardeau mes amis et ma famille avec cette maladie ?
Il a estimé à me comme j'ai eu cette épreuve pour passer à travers, mais c'était mon épreuve que j'ai eu à traiter sur mon propre. Personne ne peut le faire pour moi. Je me suis senti assez triste pour moi sans que personne ne se sentant tristesse pour moi. Lorsque j'ai été traité avec tristesse il serait complètement submerger moi et j'essayerais de mon mieux pour éviter de telles situations. Je le fais toujours.
Ces émotions sont un instantané de ce qui peut être passait pour vos êtres chers qui a été diagnostiqué un cancer. Mais finalement j'étais encore une maman et une femme et une fille et un ami, indépendamment de ma situation et j'étais déterminé à garder ces choses pendant très longtemps. Il était important pour moi de maintenir autant normalité dans ma vie comme possible et cela avaient un effet direct sur la façon dont je voulais être traités.
Pour moi, 2007 l'année que je suis allé à travers mon traitement, a été une année relativement normale. J'ai fait l'école maternelle exécuter chaque matin et soir. I aliments cuits, nettoyer la maison, nourri et livré un bébé, a fait les trois flux horaires à travers les couches des nuit, modifiées, vu les amis, a travaillé dans le jardin et a fait tout ce qu'une femme en congé de maternité aurait été fait avec ou sans cancer.
Naturellement il y a des jours que je n'étais pas capable de faire une bonne partie du tout et ces jours-là, j'avais amis et famille il y à me soutenir. Mon partenaire Laith ferait les pistes de la pépinière, il me chercher à l'hôpital après une chimiothérapie, aliments, changer couches, travail à domicile, quelle que soit était nécessaire pour me répondre. Mes amis sont ralliés quand j'avais besoin d'aide avec les enfants et aussi quand j'avais besoin d'une épaule à pleurer sur ou une bonne rigolade. Et ma maman a quitté son mari à la maison pendant 3 mois à venir, de vivre avec nous et de prendre soin de moi. Mais c'était formidable juste être traité comme un ami ou maman ou fille ou partenaire, rien de plus et rien de moins.
Ma fille deux et une moitié an, Laila, n'a pas vraiment avis que j'étais malade et qui était intentionnelle de ma part. Il garda les effets de la maladie loin d'elle (pourquoi devrait elle subir en raison de ma maladie) mais il a également eu un effet puissant sur mon attitude à la maladie et ma volonté de survivre. Deuxièmement, il n'y n'avait aucun temps à se sentir désolé pour ma part, et cela a été une bénédiction énorme. Ses donc facile à se glisser dans un état d'esprit négatif.
Je crois fermement qu'un diagnostic de cancer est plus difficile sur les amis et la famille que sur la personne diagnostiquée. Bien entendu, il est dévastatrice pour la personne atteinte de cancer mais portant sur les effets au jour le jour comme hôpital nominations et médecins etc. est relativement facile. Traitant de l'impuissance de quelqu'un de regarder passer par les traitements (qui peut être brutal) est une tâche très difficile.
Le cancer est une maladie familiale et comme le soutien membre de la famille ou un ami, il est important de prendre soin de votre auto. Prenez le temps de faire revivre vos esprits. Puis passer du temps de qualité avec l'être cher. Plan sur les sorties autour de leur horaire lorsqu'ils sont sentent forts. Apprécier les. Tenir leur main et leur donner des câlins.
Dans une étude de recherche sur les maladies cardiaques, menée en Ohio en 1970, où lapins ont été soumis à des diètes de taux élevé de cholestérol, des résultats cohérents étaient survenus dans tous les groupes lapin à l'exception de celle où les symptômes moins de 60 % ont été affichés. En essayant de comprendre le résultat, ils ont découvert que l'étudiant qui a nourri les était amoureusement les ramasser et tracer leur. Ces résultats ont été dupliqués dans de nombreuses autres études et démontre la puissance du toucher.
Les choses, que je me souviens de mon année de traitement sont la soirée surprise avec un ami, de la naissance de ma fille, la fête d'anniversaire surprise très bien fréquenté, le voyage de route sournois pour la France, l'amour et le soutien d'amis et famille et jamais réalisés à se sentir mal à l'aise, par des actions du peuple ou sur la façon dont j'ai regardé (sans sourcils et des cils ou avec mon perruque sur) et pour qui je suis extrêmement reconnaissant.
Être cher est toujours la même personne, qu'il était avant le cancer. Être supervisés et aimable. Rester optimiste. Ils ont besoin de normalité dans leur vie. Ils ont besoin de personnes d'être forte autour d'eux parce qu'ils seront nourrit que force et il leur permettre et autonomiser pour passer un autre jour ou une semaine ou encore un mois.
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